Quadrillage, intersection
gris optique des lignes que le graphiste ausculte dans la masse
du paragraphe
Sur ce qu’on veut bien voir
Velloreille. Ville d'oreille ? Ou d' « orillon de charrue » ? Plutôt cohérent pour une proposition radiophonique d'être proche d'une cité d'oreille.
Réunir des éléments disparates est le plaisir (et le savoir) de l'artiste qui divague. Diverger, faire dérailler les habitudes pour rendre la convergence (la pensée rationnelle) créative.
Pendant mes études, j'avais créé une vidéo faite de la captation de moments d'attente.
J'ai ignoré pendant mes études dans une école d'art contemporain qu'un artiste plasticien doit produire des formes plastiques.
Émerveillé par les mondes souterrains, leur mystère, leur potentiel évocateur, je trouve à Frétigney-et-Velloreille deux personnes qui m'en parlent.
Le jour et la nuit: c'est la différence de comportement entre l'atelier d'hier et aujourd'hui. Hier, je me suis égosillé.
Rendez-vous attendu avec Adeline Lépine ce matin ! Remarquable directrice du 19, centre régional d'art contemporain de Montbéliard.
On admet facilement qu’il y a de la mort dans la vie. On pense moins qu’il y ait de la vie dans la mort.
Je tiens de ma mère le sentiment d'être un hôte en Espagne.
Voilà exactement les mots que je cherchais, depuis longtemps, pour comprendre ce que je recherche dans la pratique radiophonique : « l'histoire d'Annie Ernaux corrobore l'idée que les hommes qui vi
Je commence à comprendre que je suis lent. Cette impatience qui me pousse tout de suite à agir en profondeur. Je veux résoudre, si frustré des directions qui n'épousent pas ma volonté.
Ce qu'il passe dans les temps de présentation publics dépasse largement le simple temps de leur exposé.
Entre autres, Le sol et le soi était supposé interroger les rapports multiples à l'écologie.
Le fil est vraiment un mariage entre la terre et l'air: je me souviens passer un fil indocile dans le chas d'une aiguille. Je ai l'électricité statique le tordre, comme un serpent.
Ce lieu est éloigné, paraît-il, de la culture. Un sujet, loin de son complément. Deux extrémités. Les sépare un « paraît-il ». Paraît-il.
C'est jour de marché. Le bar de Saint-Loup s'est rempli d'un certain nombre de personnes venues s'alléger les jambes.
Journal des artistes
Par le plus grand des hasards, il se trouve que Stefan, l'oncle de Jule, est mécanicien, maitre du temps et maitre des machines !
Pour cette rencontre nous avons programmé une exposition dans la médiathèque de Métabief situé juste à côté de l'école afin d'inviter les parents, enfants et habitants à venir découvrir mon travail
Après avoir pu repérer les différents endroits ou nous pourrions venir coller les reproductions de dessins des enfants. Nous avons pu entamer la phase de reproduction en grand format.
Nous avons pris une journée pour effectuer deux parcours depuis l'école afin de commencer à projeter et imaginer des emplacements qui marcheraient pour la pose de certaines productions des enfants.
Cette étape a permis de retravaillé de manière autonome au dessin des cadres pour la restitution et l'exposition de fin de projet.