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Le fil est vraiment un mariage entre la terre et l'air: je me souviens passer un fil indocile dans le chas d'une aiguille. Je ai l'électricité statique le tordre, comme un serpent.

Ce lieu est éloigné, paraît-il, de la culture. Un sujet, loin de son complément. Deux extrémités. Les sépare un « paraît-il ». Paraît-il.

Voilà exactement les mots que je cherchais, depuis longtemps, pour comprendre ce que je recherche dans la pratique radiophonique : « l'histoire d'Annie Ernaux corrobore l'idée que les hommes qui vi

Je tiens de ma mère le sentiment d'être un hôte en Espagne.

Émerveillé par les mondes souterrains, leur mystère, leur potentiel évocateur, je trouve à Frétigney-et-Velloreille deux personnes qui m'en parlent.

Ce qu'il passe dans les temps de présentation publics dépasse largement le simple temps de leur exposé.

On admet facilement qu’il y a de la mort dans la vie. On pense moins qu’il y ait de la vie dans la mort.

Il y a d'abord le feu vert de l'équipe du fablab, dès le samedi 9 : Julie, Norbert, Pauline, Xavier. Merci à euelles pour la confiance, si vite obtenue.

J'ai ignoré pendant mes études dans une école d'art contemporain qu'un artiste plasticien doit produire des formes plastiques.

Réunir des éléments disparates est le plaisir (et le savoir) de l'artiste qui divague. Diverger, faire dérailler les habitudes pour rendre la convergence (la pensée rationnelle) créative.

Fargo, saison 4, épisode 8.

Le frère, pris en otage par le gang adverse, retrouve la famille qui ne l’a pas protégé.

Pendant mes études, j'avais créé une vidéo faite de la captation de moments d'attente.

Je m’étonne de ne pas ressentir la solitude de cette maisonnette isolée.

On me fait remarquer que je suis courageux : 15 jours dans ces lieux que je ne connais pas.

Velloreille. Ville d'oreille ? Ou d' « orillon de charrue » ? Plutôt cohérent pour une proposition radiophonique d'être proche d'une cité d'oreille.

Quadrillage, intersection

gris optique des lignes que le graphiste ausculte dans la masse

du paragraphe

Sur ce qu’on veut bien voir

J'arrive à Lure ! Escale entre mon domicile strasbourgeois et Varigney, Haute-Saône (70), où Pauline Desgrandchamp et Bonome m'accueillent chez eux.

C'est jour de marché. Le bar de Saint-Loup s'est rempli d'un certain nombre de personnes venues s'alléger les jambes.

Dans cet article de journal, je me confronte aux documents du Bureau de Recherches Géologiques et Minières ainsi qu'à un module de formation conçu par trois ingénieurs de l'école des Mines d'Alès.

Pascal et Ginette m'ont invité chez eux hier soir. Ça s'est fait spontanément.

Les premiers espaces publics de la ville qui échappent au transit campent tout près de la gare.

On arrive parfois de l’extérieur, beau et tout rose, qui diffère complètement de là où l’on va. Untel veut questionner la conception qu'ont les gens de l’amour pour appréhender l'universel.

Mes titres préférés jouent en aléatoire, et cette chanson de Mathieu Boogaerts retentit quand j'atterris pour la première fois dans mon logement de résidence à Frétigney et Velloreille :

La radio, c'est facile. En apparence.