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Wax nomade.

Publié par Alex Lambert

Journal du projet
Architecture Arts visuels Installation Illustration, Ecologie, Construction

En cette fin d'année 2076, la section recherche & développement du Laboratelier à conçu, élaboré et construit des supports à expressions infinies.

Véritable innovation scénographique prenant la forme de cadres mobiles supportant une pièce de wax tendu (1.5 / 2). Le but est simple ; créer des fonds de scène à l'organisation aléatoire donnant ainsi la possibilité à nos appréhendex de devenir les agenceurs de leur mini théâtre du futur. Le wax nomade est tendu sur des cadres de bambou, eux-mêmes posés sur une structure bois, elle-même reposant sur une déclinaison de super roues à roulement à bille multidirectionnelle. Des artifices à l'échelle des enfants pour nous approprier l'espace de la cour de manière incrémentale, intuitive et imprévue !

Pour le premier essai de mise en scène, chacun groupe tire au sort un papier leur attribuant un fond qui représente des cosmogonies naturelles : le désert, la  mer, la forêt, l'air, la terre et le soleil. Les appréhendex aime jouer et devant ces nouveaux éléments, des histoires rendent vivant les objets minutieusement bricolés au fil des mois. On se met dans la peau de nos technologies et on se retrouve nez-à-nez avec des situations possibles en 2076. L'ensemble de cette scénographie flottante est polymorphe.

B

Les unités mobiles, assemblées en hexagone créent ainsi une petite agora intime au milieu de l'école, puis cette agora se disloque pour être éclatée aux quatre coins du sol en béton de la cour. Plusieurs mouvement sont possibles : en ligne, en arc de cercle, par îlot de deux ou en parking en épis. C'est la quantique du laboratelier nomade que nous disent les génies. Le mystère de l'histoire envahi nos séances d'ateliers, avec des appréhendex bien motivés pour gesticuler dans leurs apparats du turfu ! 

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