Basé sur l’architecture technique de notre précédent spectacle (Fulgur, Apparatus), des premiers tests de charge ont été effectués. En effet, l’installation lumineuse que nous souhaitons développer demandera presque dix fois plus de ressources. Notre objectif : que le spectateur se perde dans un réseau d’entités lumineuses, évoquant aussi bien un sanctuaire que l’intérieur d’un kaléidoscope.
Une fois le fer à souder et le multimètre branchés, certains problèmes techniques apparaissent : en particulier, notre fidèle processeur Arduino ne suffira pas à alimenter le réseau de LED que nous souhaitons utiliser (un millier de cellules).
Notre travail de conception s’articule autour de plusieurs contraintes :
Plusieurs pistes sont étudiées : soudure, création de supports en carton, utilisation de pieds individuels, conception d’une structure en PVC thermoplié, origami…
Une premier test « grandeur nature » sera lancé début février dans la salle de spectacles de Mains D’œuvres (Saint Ouen) pour mettre à l’épreuve un premier prototype, et de tester divers matériaux en particulier pour leurs qualités optiques.