« C’est un peu la nature et moi j’aime bien ça, la lumière ! » raconte cette voix de petite fille. Parler de lumière, c’est parler « d’arbres », de « champignons », de « bestioles », de « sangliers », de « plantes », ou même de fascisme ; c’est revivre un bout de sa vie en plongeant dans ses souvenirs. C’est toucher à l’intime. La résidence à Vienne (Isère) d’Élodie Elsenberger et de Maxime Prangé avait pour thème la recherche du sentiment lumineux. Insérée dans le programme Transat mis en place par les Ateliers Médicis et le ministère de la Culture, elle a duré près d’un mois ; les artistes restituaient leurs travaux aux participant·e·s ce mercredi 19 août 2020.

Publié par Julie Richalet
Projet
22 juillet 2019

Journal des artistes

Publié par Maxime Prangé
15 juillet 2019

Journal des artistes

Publié par Maxime Prangé
15 juillet 2019