Le conditionnel ouvre l’imaginaire. Il invite aussi à l’empathie : si vous étiez du sexe opposé ? Et si vous viviez dans la rue ? Si vous aviez une tante malade ? Si vous étiez réfugié ?
Je leurs propose de dessiner ce qu’ils feraient s’ils gagnaient au loto. Sélection :
Et s’ils étaient président(e) de la république ? Sélection :
Enfin, sur un papier, chacun écrit une condition qui commence par « si ». Je ramasse et redistribue de manière (presque) aléatoire : chacun complète la conséquence de la condition qu’ils ont reçue.