Pour s'intéresser au vivant, encore faut-il le côtoyer, prendre le temps de l'observer, se documenter. Pour les enfants comme pour moi c'est un exercice rare. Par deux fois, nous avons passé la journée dehors, aux alentours proches de Seyssel, et ce furent des moments de partages et de découvertes communes mémorables. Nous étions à égalité dans notre relative ignorance, et c'était très agréable!
La deuxième sortie le 25 mai a opéré comme une respiration, alors que nous étions dans la phase finale de la création du fanzine.