A travers différents médiums (édition, photographie, dessin, installation), Rodrigue de Ferluc s’intéresse à la collection, à la circulation et aux conditions de production d’images, matériaux et objets.
Suivant la logique du ré-emploi, son travail s’inscrit dans une pratique appropriationniste à partir du mouvement « collecte / ré-appropriation / re-transmission ».