La pratique plastique d’Amandine Maas n’est pas fixée sur un médium de prédilection, mais plutôt sur une problématique, qui traite de la communication et de l’image de soi sur les réseaux sociaux. Le quasi-réel, le fantasme que l’on projette de soi-même, l’absence de complexe et la création d’un cortège d’images amateures kitch, presque anti-esthétiques sont les thèmes principaux de son travail. Utilisant principalement la performance, sa pratique passe aussi par d’autres médiums tels que la photographie, l’installation, la vidéo ou la peinture.