Olivier Allard
Olivier Allard

Martin Nikonoff

Diplômé(e) de
CNSAD (Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique) - Paris
Collectif OSPAS

Actualité de l'artiste

Crédit : Julien Fisera

Un dieu un animal

"UN DIEU UN ANIMAL"
Du 13 au 15 décembre 2018 à L’Atelier du Plateau (20h – durée 1h15)

Texte Jérôme Ferrari
Adaptation et mise en scène Julien Fišera
avec Ambre Martin et Martin Nikonoff

Espace François Gauthier-Lafaye / Vidéo Jérémie Scheidler / Lumières Kelig Le Bars / Costumes Benjamin Moreau / Musique Olivier Demeaux - Accident du travail / Collaboration artistique Nicolas Barry / Conseil aux mouvements Thierry Thieû Niang 

« Peut-être suis-je enfermée dans une vie si minuscule que toutes les issues par lesquelles je pourrais m'échapper de moi-même sont maintenant murées. », "Un dieu un animal"

>> L’histoire se passe aujourd'hui : un jeune homme rentre chez lui en Corse après qu’ait tourné court une mission militaire au Proche-Orient. Il se met en quête de retrouver son amour de jeunesse. Mais Magali, qui travaille comme chasseuse de têtes pour un grand groupe et pour qui la violence des rapports humains est aussi le lot quotidien, ne peut rien face à ce que le jeune homme est devenu.
>> Ecrit à la deuxième personne du singulier, le roman tresse une double narration : celle du jeune homme et celle de Magali. Réunis ensemble, ces deux fils dressent le portrait d’une jeunesse française d’aujourd’hui. Dans une langue puissante et lumineuse Jérôme Ferrari, prix Goncourt 2012 et lauréat du prix littéraire 'Le Monde' 2018, s’aventure sur le passage à l’âge adulte et décrit la violence qui est faite à cette jeunesse. Comment s’inscrire dans ce monde qui ne nous tend pas les mains ? Comment aimer dans un monde violent ? 
>> Le spectacle, présenté au plus près du public et porté par deux jeunes comédiens, tourne autour de la question de l’engagement mais aussi de l’espoir. Ce sentiment qui ne nous laisse pas en repos et qui nous pousse sans cesse à chercher à nous dépasser. L’espoir que les choses peuvent encore changer.

Production Compagnie Espace commun. Coproduction Les Tréteaux de France – Centre dramatique national. Accueil en résidence et coproduction : L'Atelier du Plateau. Soutien en production : Das Plateau aux Ulis – Espace culturel Boris Vian. Le spectacle bénéficie du soutien de la Ville de Paris au titre de l’aide à la résidence, de l’aide à la création de la région Ile-de-France et de la participation artistique du Jeune théâtre national. Résidence de création : Théâtre Paris-Villette. Avec le soutien des Plateaux Sauvages, de la Maison des Métallos, du Carreau du temple pour les résidences de création. La compagnie bénéficie aussi du soutien de la DRAC Ile-de-France au titre de l’aide à la résidence territoriale artistique et culturelle en milieu scolaire. Le texte est publié aux Editions Actes Sud, 2009.
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Tournée 2018/2019 :
- du 13 au 15 décembre 2018 : Atelier du Plateau, Paris
- les 24 et 25 janvier 2019 : Théâtre des Quatre Saisons, Gradignan
- le 5 février 2019 : Espace Culturel Boris Vian, Les Ulis

Martin Nikonoff commence le théâtre en 2007 aux Cours Florent puis il est reçu au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique de Paris en 2011 où il travaille notamment avec Daniel Mesguich, Michel Fau, Xavier Gallais, Caroline Marcadet et Georges Lavaudant. Après sa formation au CNSAD, il décide de partir  à l'ATELIER, au Théâtre National de Toulouse pour une année de formation professionnelle supplémentaire. A son retour, il passe son Diplôme d'État de professeur de théâtre. Il travaille en ce moment avec Julien Fisera dans une adaptation d'un roman de Jérôme Ferrari, « Un dieu un animal » ainsi qu'avec Declan Donnellan dans une pièce de Shakespeare, « Périclès, Prince de Tyr », en tournée en Europe pendant cinq mois. Il fonde en 2017 avec Clément Bertonneau le Collectif OSPAS dont la première création est « Le Miroir aux Alouettes », un spectacle destiné aux adolescents, qui aborde le thème de la manipulation de la pensée et de la construction de l'identité via la figure de Jim Jones.

Projets de Martin Nikonoff

Journal du projet 1 juillet 2019 Projet Frontière/s De Martin Nikonoff

Pour commencer, nous pouvons dire que le bilan que nous tirons de notre résidence Création en Cours est plus que positif.