Slam et poésie avec The Living and the Dead ensemble et Olivier Marboeuf
Entre fureur du jazz contemporain et infinie richesse des musiques traditionnelles du Moyen orient, les jeunes musiciens explorateurs de Sarāb inventent ensemble une musique résolument moderne, originale et enivrante.
Djazia Satour vient illuminer cette nuit blanche aux Ateliers Médicis avec sa voix et sa musique teintées de trip-hop electro.
L’association de Montfermeil nous fait découvrir les talents des jeunes artistes qu’elle accompagne tout au long de l’année.
Champion de France de beatbox et enseignant hors pair, Andro vient nous faire son show.
Charlène Andjembe est chanteuse et musicienne. Elle a travaillé au côté de Bintou Dembélé, mais pour cette soirée, elle joue avec Yannick Jackson, joueur de harpe congolaise.
Il est compositeur, musicien et mène des ateliers de création musicale.
Une soirée pour arpenter ses terres musicales.
Ali Chaudhury à la plume et Riad Amani à la musique composent Diplomic’, un duo musical sensible et généreux. « Tu sais qu’on rêve ici », leur dernier spectacle dont ils joueront des extraits, nous balade en chansons de Montfermeil à Paris ou Karachi.
On dit les membres du Gen Zu Clan rois de l’underground. Collectif de rap français ils tracent leur chemin depuis 2005. Ils prennent ce soir la scène chez eux à Clichy-sous-bois.
47Soul est un groupe dabke électro arabe formé en 2013 à Amman en Jordanie.
Les membres du groupe sont tous les quatre originaires de Bilad el-Cham, région que l’on
appelle aussi le Levant, qui fait se rejoindre Amman à la Galilée, Ramallah et le reste de la diaspora Palestinienne. 47 Soul a rapidement séduit le public du monde arabe et d’Europe en partageant leur son dabke électro à travers les scènes de musique underground.
Chaque concert se termine par une danse et une transe. Les paroles, mélange d’arabe et d’anglais, appellent à la célébration et à la liberté dans la lutte pour l’égalité, à Bilad el-Cham et à travers le monde.
Première représentante féminine du deejaying en Tunisie, Missy Ness est reconnue là-bas comme une figure importante de la scène alternative.
Gülay Hacer Toruk chante les türkü, la poésie populaire chantée d’Anatolie. En turc d’abord, nourrie par les chants d’exil de sa famille. puis dans les autres langues que cette terre a entendu : grec, kurde, laz, arménien, judéo-espagnol… Elle raconte à travers ses chants populaires, la terre d’Anatolie qui a porté et nourri tant de peuples.