D’autres voyageurs du temps, plus âgés, ayant traversé différentes générations. Ont tenus à leur tour, d’envoyer des messages pour prévenir d’une situation en déclin. Ils sont alors venus leur rendre visite et les soutenir à la diffusion de leur message.
Matice Follis invite à faire l’expérience d’une promenade au travers d’un clair-obscur soumis aux gestes du spectateur. Son oeuvre, interactive, ne rend visible l’écriture du paysage, qu’à travers la dépendance des gestes de celui qui l’active. La présence de ses paysages n’existent alors qu’une fois qu’ils sont actualisés.
Claire Arquevaux fait le récit d’une rencontre inatteignable, celle du Mont Salève. Pour contrer sa route parsemée d’échecs, elle décide d’emporter avec elle, le Mont lui-même. Entretenant par le biais d’une carte postale le souvenir ineffable, d’une relation virtuelle, déployant à l’infini son fragment, et éloignant toute distance les séparant.
Maeva Ferreira Da Costa questionne les résidus de langage. Ces états indiciels d’un langage invisible, codé, controlé par l’humain qui souffle des données afin d’en provoquer une réaction. Ces signaux intraduisibles, alimentés en air par le souffle de l’humain, sont à voir sous le prisme d’une union triangulaire entre la nature, la machine et l’homme. En quête d’harmonisation, signal reste une zone de résistance à la traductibilté et à l’accès au savoir.
Ses paysages exoplanétaires propose d’espérer de nouveaux scénarios de vie sur des planètes inédites et inexpérimentées. Offrant des tentatives de récrire l’histoire pour de nouvelles atmosphères, non plus virtuelles.
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Ce projet a été réalisé en vue de sensibiliser les enfants aux usages du numérique et de son impact sur le territoire, comme dans nos habitats.
Au cours de ce projet, les élèves ont tenter de trouver des réponses poétiques de cohabitation entre les nouvelles technologies, son envers médiatique, et les traces qu’elles laisseront aux générations futures.
