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Artiste

À l'aide d'une technique vieille de près de deux siècles, c'est un atelier collectif, loin des écrans et du numérique que proposaient Damien Monteau (diplômé du Royal College of Art de Londres) et Corentin Perrichot (diplômé de l'ENSAAMA à Paris) au Centre de Loisirs de Ploërmel dans le Morbihan. Dans cet atelier intitulé « Cosmovision », les images prennent vie à la force des mollets et chaque dessin est transformé par le coup de crayon d'un·e camarade. 

« Le dessin d'animation peut être assez laborieux, image par image, dessin par dessin; seul, on a vite fait de se décourager mais à plusieurs, on arrive à faire émerger des mouvements très surprenants! » explique Damien Monteau. « Être hors contexte scolaire, et avoir des enfants qui pouvaient venir quand ils en avaient envie, repartir jouer et revenir voir ce que les autres ont fait, ça a aussi permis de libérer certaines approches du dessin. »

Les parents se sont prêtés au jeu lors d'un ultime atelier où les œuvres des enfants étaient présentées.


Retrouver des images du projets sur le compte instagram dédié : @__cosmovision__

« L'Antre-Deux, c'est une invitation à être plein·e de soi » résume Salomi. « C'est mettre le rationnel de côté, faire prévaloir la magie et l'intuition. Et le corps ». Salomi et Marin Marie se sont installé·e·s en résidence à l'association Le Refuge à Montpellier pendant trois semaines. 
Au travers d'ateliers mêlant méditation et théâtre, et grâce aux dons de vêtements de la Croix Rouge, chaque personne a pu construire et déconstruire des identités, des personnages et poser devant l'appareil de Salomi et Marin Marie.

Structure associée
Ploërmel -

Morbihan

Structure associée
Fort-de-France -

Martinique

Publié par Pierre Koffi Alanda
26 avril 2020

Journal des artistes

Publié par Cosima Jentzsch
30 juillet 2020

Article de la Revue

Laureline De Leeuw s’installe au Fender pour cinq sessions de gravure et d’impression, proposées dans le cadre du programme Transat, en cette fin de mois d’août. Les résidents du Fender à Ivry-sur-Seine (94), de jeunes hommes, âgés de 20 à 35 ans majoritairement, en exil et/ou sans papiers, ont décidé d’utiliser cette technique pour créer un logo propre à cette toute nouvelle maison.