« C’est un atelier entre mode et sculpture. L’idée c’était de faire des sculptures à porter. » En période de post-confinement, alors que la distanciation physique est toujours en vigueur, le travail d’Amandine Maas semble faire lien, comme si ses sculptures étaient des médiatrices entre deux mains, deux corps ; elle a par exemple créé des sculptures qui lient, où l’un et l’autre peuvent passer leur main et se balader ensemble au travers d’une exposition, reliés par une petite sculpture portative.