Publié par Audrey Buchot
13 mars 2024

Journal des artistes

Publié par Lou-Anna Reix
20 mars 2024

Journal des artistes

Publié par Louis Moreau-Ávila
17 mars 2024

Journal des artistes

Publié par Louis Moreau-Ávila
9 mars 2024
Publié par Louis Moreau-Ávila
9 mars 2024
Publié par Louis Moreau-Ávila
13 février 2024

Journal des artistes

Publié par Louis Moreau-Ávila
13 mars 2024

Journal des artistes

Publié par Louis Moreau-Ávila
29 février 2024

Journal des artistes

Publié par Louis Moreau-Ávila
13 mars 2024

Journal des artistes

Publié par Louis Moreau-Ávila
15 mars 2024

Journal des artistes

Publié par Louis Moreau-Ávila
16 mars 2024
Publié par Louis Moreau-Ávila
17 mars 2024
Publié par Louis Moreau-Ávila
17 mars 2024

Alexandre Roccoli poursuit au Carreau du Temple (Paris 3e) son travail initié en résidence aux Ateliers Médicis. Il propose aux habitants et habitantes des ateliers de recherche et d’expérimentation afin de nourrir sa création chorégraphique.

Mickael Vis est un artiste visuel qui explore, à travers l'utilisation de photographies, archives et textes, la narration dans l'intime ; pour l'édition 2023 de Transat, il propose un retour dans son quartier d’enfance, à Grigny, pour son projet « Sous le soleil devant les divins ». « Quand on vient d'ici on ne peut pas ne pas être en colère ; on voit tellement de choses qui ne fonctionnent pas » dit-il. Dans une archive télé, en réponse à une question d'une journaliste sur l'importance de l'enfant dans sa conception de la ville, Émile Aillaud, architecte de la cité la Grande Borne à Grigny répond : « c'est pour que l'enfant puisse devenir ici ce qu'il ne serait pas devenu en étant ailleurs ». Michael Vis s'intéresse notamment à la mythologie qui structure l'urbanité de la ville. Lui, qui évoque le lourd « poids » de Grigny, se demande alors ce que cela veut bien vouloir dire, être ailleurs, ici, dans la ville la plus pauvre de France. L'ancien enfant grignois s’installe à nouveau dans cette ville, pour se plonger dans ses archives, retrouver ses proches et amis, raconter ce quartier et ses habitant·es par la photographie.

« Peut-on retrouver le goût de ce qui n’est plus ? Le goût d’avant les grands bouleversements, les catastrophes, le chaos. La cuisine permet-elle de tisser des ponts entre l'avant et l'après, d'incarner les souvenirs, de donner une voix aux ancêtres, aux absents à travers nos gestes, les mots, les plats ? La cuisine permet-elle d’échapper à la temporalité et d’en créer une nouvelle ? » c’est ce que se demandait Lila Lou Séjourné, artiste plasticienne, avant de commencer sa résidence « Cuisine archéologique en Iparalde » à l’Ehpad Ramuntcho de Bidart.

Journal des artistes

Publié par Robin Bourgeois
26 juin 2023

Journal des artistes

Publié par Robin Bourgeois
26 juin 2023

Journal des artistes

Publié par Robin Bourgeois
26 juin 2023

Journal des artistes

Publié par Robin Bourgeois
26 juin 2023
Publié par Robin Bourgeois
26 juin 2023

Adèle Edwards et Valentin Fleury se sont installé·es à l'Ehpad Saint-Joseph de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) pour leur résidence « Intérieur Jour ».

Cécile Rivet était en résidence à l'Ehpad Les Acacias de Montigny-lès-Metz (Moselle) pendant un mois et demi. Alors qu'elle prévoyait initialement de ne travailler qu'un court-métrage d'animation, ce temps de résidence lui a permis d'enrichir cette forme travaillée et d'expérimenter, pour la première fois, celle du spectacle vivant : « je n'aurais jamais imaginé ça car je viens pas de ce milieu ; en fait, je ressors avec plein de nouvelles idées pour mon travail et c'est super ! »