Collages serpent

Le serpent-volant

Publié par Mathilde Rouch

Journal du projet

Un peu de dessin et de collage après la balade met doucement en route l'imaginaire des élèves.

Nous commençons la séance par du dessin d'observation. Un élément à dessiner est placé au centre de chaque îlot : branche, brocoli, chou-fleur...

Quelques un.e.s sont déjà très à l'aise, certain.e.s réussissent petit à petit à transcrire ce qu'ils.elles ont sous les yeux.

En attendant que les derniers finissent, d'autres illustrent leur conte préféré.

Je leur explique ensuite la notion de « paréidolie » : c'est un processus que l'on a tou·te·s appliqué au moins une fois en interprétant la forme des nuages. Les élèves sont donc invité·e·s à mettre en pratique ce procédé avec les photos prises pendant la balade.

Sur la surface des photos, ils.elles tracent au feutre le sens que suggèrent les formes, les couleurs, les textures.

Pour finir la séance, les élèves choisissent finalement le conte sur lequel elles.ils souhaitent travailler pour le reste de l'année. Avec Aurélie, nous réexpliquons bien que le but sera d'imaginer une fête à partir du conte sélectionné.

Le choix se porte rapidement et en grande majorité sur le texte du Serpent-Volant (les nombreu·x·ses lect·eur·ice·s d'Harry Potter y sont sans doute pour quelque chose).

Pour les plonger d'autant plus dans l'univers du conte et faire un parallèle avec leurs paysages de proximité, les élèves illustrent leur vision du serpent-volant avec les récoltes de la balade. Les matériaux sont découpés, assemblés, collés.